Chapelle dédiée à La Sainte Famille, comme l'indique la grand tableau du chœur.
Epoque et styles : XIXème
Principales étapes de construction : construite en 1846 par habitants du hameau. L’horloge et ses quatre cadrans ont été installés en 1942.
Etat de conservation : restaurée entre 1984 et 1986. En 1984, les ardoises du toit ont été remplacées, le clocher refait et les cadrans changés. En 1985 et 1986, l’intérieur a été restauré.
A signaler, un magnifique triptyque exposé dans l'église fait de miniatures peintes à partir des vitraux de la cathédrale de Reims. Fait et offert par un artiste local. Et une icône de la Verge à l'enfant du même artiste.
Homélie centrée sur la persévérance dans la Foi.
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Le titre souligne l'association de la Mère à la souffrance de son Fils. Les « Sept Douleurs » font référence aux événements, relatés dans les évangiles, qui angoissèrent et firent souffrir la Vierge Marie dans la mesure où elle accompagnait, pas à pas, son Fils dans sa mission de Rédemption.
Pourquoi prier Notre-dame des 7 douleurs ?
Notre-Dame des Douleurs ou Notre-Dame des Sept Douleurs, est l'un des nombreux titres par lesquels l'Église catholique vénère la Vierge Marie, mère de Jésus. Le titre souligne l'union de la mère à la souffrance de son fils qui s'est sacrifié pour donner aux êtres humains une vie nouvelle.
Origine de la dévotion
La dévotion aux souffrances de la Vierge trouve une origine très ancienne, puisqu'au milieu du IIIe siècle, une première chapelle aurait été érigée sous le vocable de Notre-Dame de Pitié à Clermont-Ferrand3. Mais le culte de la Mater Dolorosa apparaît officiellement en 1221, au monastère de Schönau, en Allemagne. En 1239, dans le diocèse de Florence en Italie, l'Ordre des Servites de Marie (Ordo Servita), dont la spiritualité est très attachée à la Sainte Vierge, fixe la fête de Notre-Dame des douleurs au 15 septembre.
Les sept Douleurs, dans l'ordre chronologique :
Elle entend la prophétie du saint vieillard Siméon, dans le Temple ;
Elle vit la fuite en Égypte ;
Elle recherche avec saint Joseph, durant trois jours, l'enfant Jésus et le trouve dans le Temple ;
Elle rencontre Jésus portant sa croix et échange un regard avec lui alors qu'il monte au Calvaire ;
Elle est debout, silencieuse, au pied de la croix. Elle regarde Jésus crucifié et suit son agonie ;
Elle reçoit dans ses bras Jésus mort, descendu de la croix ;
Elle assiste à l'ensevelissement de Jésus et à sa mise au tombeau
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La Chapelle est dédiée à sainte Philomène (charisme de guérison) et saint Joseph (modèle de mari et de père) : 2 statuettes en font foi.
Le Père Théodose nous a offert une belle homélie sur l'écoute de la Parole de Dieu : écouter, "mastiquer", "métaboliser" la Parole ... ensemble, en communauté, mais aussi et surtout seul dans chacun de nos cœurs ... pour déboucher sur une mise en pratique.
Un peu d'histoire :
Chez les Buttay, sur la route menant aux villages de Bénand et de Creusaz, a été construite une chapelle en 1870. Elle était anciennement dédiée à Sainte-Philomène, mais son vocable est aujourd’hui Saint-Joseph. Elle bénéficia d’une campagne de restaurations dans les années 1990.
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