Marche de la chapelle de Châteauvieux (Féternes) à la maison natale de Soeur Claudine ECHERNIER. Avec bénédiction d'une stelle en l'honneur de la co-fondatrice des Soeurs de la Croix de Chavannod en 1838
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Chaque dimanche et fêtes ...
Bref historique :
Une église primitive est mentionnée en 1099, dans le Régeste genevois, qui demande au prieuré de St Paul de desservir Maxilly. L'église actuelle ne possède pas de datation précise1. Entre 1078 et 1120, la moitié des revenus de l'église est donné au prieuré Saint-Victor de Genève.
En 1536, la paroisse, à la suite de l'invasion des Bernois, devient une enclave protestante.
En 1794, le clocher est rasé et l'église est dépouillée d'une grande partie de son mobilier.
L'église est entièrement reconstruite en 1828 dans le même style que l'ancien édifice, avec une nef unique.
* Discours de Mme Sonia Hourtale, Maire adjointe de Maxilly
Ce n’est pas si fréquent de voir l’église de notre village accueillir autant de monde pour un moment festif. Nous sommes très heureux de la présence de chacune et chacun, membres ou non de la communauté catholique de la paroisse Saint-André en Gavot-Léman ; nous sommes très heureux de votre présence, Monseigneur Le Saux ; votre venue jusqu’à nous, presque au bout de votre diocèse est un signe fort d’encouragement. Maxilly c’est un peu loin depuis Annecy, mais l’endroit est si beau ! Le Conseil Municipal a à cœur d’y préserver un environnement à taille humaine, fait de proximité, de simplicité aussi. À une époque où tout semble s’uniformiser, se densifier de partout ; à une époque où tout semble s’accélérer ce n’est pas toujours facile de préserver des espaces et des moments où un lien social peut se tisser, où nous pouvons prendre le temps de la rencontre.
Préserver des lieux qui font sens, où une expérience de vivre ensemble peut s’expérimenter c’est sans doute ce qui a conduit la commune de Maxilly, avec le soutien du département à répondre favorablement à la demande de la Paroisse de réaliser ces travaux de rénovation. Un investissement de taille avec ses 70 000 euros, mais qui nous semblait essentiel, au-delà des convictions que chacun porte en lui. Notre époque si éprouvée a besoin d’artisans de paix et de solidarité, d’écoute et de réconciliation, d’ouverture. Nous comptons sur la communauté chrétienne, sur les communautés où quelque chose de la foi s’expérimente pour générer de tels témoins.
Nous serons alors acteurs, ensemble, d’un « bien vivre ».
Chère Marie-Thérèse, chère Jeanine, encore un grand merci pour votre engagement. Vous représentez la paroisse pour notre village et c’est toujours un plaisir de vous avoir près de nous.
À vous Père Louis, curé de la paroisse, à vous Père Le Saux nous redisons notre fraternelle amitié.
J’ai le grand plaisir de vous inviter toutes et tous à prolonger ce moment autour d’un verre offert par la paroisse et la commune de Maxilly. Une très belle suite de dimanche à vous.
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Quelques informations spécifiques à chaque communauté de la paroisse.
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Croire encore ? - À la rencontre de la quête spirituelle de nos contemporains.
Je voudrais témoigner de la rencontre avec mes contemporains au cours de l’université des amis de l’hebdomadaire La Vie. Cette semaine a été aussi enrichissante que les interventions de très haute qualité des invités, des plus jeunes aux plus expérimentés dans leur domaine.
J’ai réfléchi, je me suis questionnée, j’ai été interpellée, oui !
Entre les temps de méditation et de prière, l’écoute, les prises de notes, les échanges en petits groupes et les repas pris en commun, j’ai approché et j’ai été approchée par des dizaines de personnes que je ne connaissais pas du tout. Nous avons pu échanger et partager spontanément comme en amitié sans complexe, sans barrières, notre « croire » et la quête spirituelle de nos contemporains.
De fait, religieux comme laïcs, nous avons exercé notre discernement pour sortir de la matérialité surabondante de notre quotidien et nous protéger de la virtualité omniprésente de notre monde. Ceci pour espérer et voir toujours AU-DELÀ, avec une foi profonde.
Comment rendre notre foi accessible et vivante aujourd’hui aux personnes en recherche de Dieu ?
Sans doute par l’architecture et l’art, en faisant visiter notre patrimoine religieux, comme l’église et le clocher de St Paul - un grand merci à Georges Michoud et son équipe – la chapelle de Champeillant et l’église d’Evian à des personnes émerveillées malgré la météo pluvieuse et le lac en robe gris anthracite… Certainement aussi en proposant une lente et lancinante « descente en prière » préparée par deux artistes, une comédienne et une musicienne. : un chant hébreu accompagnait la ronde d’une trentaine de participants, Hashivenu Adonaï eleisha, « Fais-nous revenir à toi Seigneur ». À tour de rôle, inlassablement, deux d’entre eux disaient un court passage d’évangile, une rencontre avec le Christ se concluant par : Va, ta foi t’a sauvé !
Quelques jours après avoir vécu cette expérience, j’ai compris que ce sont nos échanges foisonnants qui ont primé, au cours de cette semaine, en toutes circonstances et en tous lieux.
Dans notre paroisse, apprenons à nous réunir, à nous connaître, quelles que soient les générations, nous avons tant à y gagner !
Si vous désirez vous plonger dans ces conférences passionnantes de l’université des amis de La Vie vous trouverez tout sur le site de l’hebdomadaire www.amisdelavie.org, dossier « Université Evian 2023 » et c’est fait par des pros !
Isabelle Mauger – Rédactrice adjointe du journal En Gavot
Photo de Claude Ollivier
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Comment décrire l’indicible ?
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Balade autour de la Dent d'oche