Textes partagés
L'ASCENSION DU MONT VENTOUX
“L’ascension du Mont Ventoux” est un texte écrit par François Pétrarque en 1336. Il s’agit d’une lettre qu’il a envoyée à son directeur de conscience et ami, Dionogi dei Roberti (Denis Robert de Borgo San Sepolcro). Dans cette lettre, Pétrarque raconte son ascension du Mont Ventoux, une montagne qui culmine à 1910 m d’altitude, située en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il raconte comment il a gravi la montagne avec son frère et deux amis et comment il a été inspiré par la beauté de la nature qui l’entourait. Il décrit également comment il a atteint le sommet de la montagne et comment il a été ému par la vue panoramique qu’il avait devant lui.
Au retour de notre rando d'été (juin 2023 - dans le Vaucluse), je découvre ce petit chef d'oeuvre : "L'Ascension du Mont Ventoux" récit épistolaire écrit par Pétrarque, ce grand poète italien du 14ème siècle.
Il m'a interpelée, comme un appel à l'intériorité, engendré par la marche, par nos petits pas de chaque jour, par la rando !
Alors, c'est un petit partage : treize pages seulement, suivies d une courte biographie du poète, de quoi nous donner envie d'entreprendre ce voyage au cœur de nous-mêmes : "L'ascension du Mont Vendoux" marque une conversion, la réconciliation de Pétrarque avec l'ordre du monde et la splendeur de Dieu". [...] "Les hommes ne se lassent pas d'admirer la cîme des montagnes, l'ample mouvement des flots marins, le large cours des fleuves, l'océan qui les entoure, la course des astres, mais ils oublient de s'examiner eux-mêmes."
(Yveline)
LA PIETÀ DE MICHEL ANGE
Au Lycée Bertholet d'Annecy (Haute-Savoie) - lycée d'État, donc laïc - les élèves ont eu comme challenge de faire l'éloge de quelque chose
sur un sujet de leur choix.
Bénédicte, lycéenne de dix-neuf ans, a reçu le premier prix pour sa réflexion.
Elle dit que ce texte ne lui appartient plus, qu'elle a été "inspirée" après avoir vu l'image de la sculpture de la Pietà.
Ici... pour accéder au texte de Bénédicte Jammes
JONAS - COMME UN FEU DÉVORANT
Dans cette méditation spirituelle sur le livre de Jonas, Francine Carillo débute une réécriture toute personnelle de la célèbre histoire du prophète avalé par une baleine, puis développe un commentaire très attaché au texte hébraïque qui lui redonne ainsi toute sa dimension existentielle. Beauté de la langue alliée à une subtile méditation.
Francine Carillo est théologienne et poète. Elle a notamment publié Vers l'inépuisable (Labor et Fides, 2002), Le Plus-que-vivant (Labor et Fides, 2009) et L'Imprononçable (Labor et Fides, 2017) qui l'ont fait largement connaître dans les communautés chrétiennes et au-delà.
« Pourquoi Jonas ? Quatre chapitres, quarante-huit versets, l'un des livres les plus courts du canon biblique, l'un des derniers à y être inséré. [...] Dans ce petit conte, l'extravagance de Dieu et celle de Yonah se répondent. L'ordre des choses est brisé, les paradoxes se multiplient. Yohah apparaît comme un bougon récalcitrant, un prophète qui ne prophère rien, un irréductible en procès avec son Dieu, alors que les "dociles" sont les autres, les réputés lointains de Dieu. Dans cette histoire cousue à l'univers, ce sont eux qui consentent au retournement de leur être. »
Avec notre groupe de VEA, nous avons partagé la lecture de ce livre.
Un clic sur ce lien pour quelques réflexions personnelles
Notre réflexion en équipe a également porté sur la Bonne Nouvelle du livre de Jonas, parue dans notre revue
Voir ce texte
PEUT-ON TOUT PARDONNER ?
C’est LA grande question que tout le monde se pose. Comment pardonner les souffrances vécues dans son enfance, dans son couple ou au travail ? Le pardon est-il possible quand des actes odieux sont commis ?
Pour y répondre, Olivier Clerc redéfinit ce terme souvent galvaudé et identifie une quinzaine d’obstacles au pardon qui empêchent la plupart d’entre nous d’avancer sur cette voie de « guérison des blessures du cœur ». Il s’appuie ensuite sur des outils et propose quatre manières de cheminer vers le pardon. Des témoignages soulignent avec force que ce chemin vers la paix du cœur est accessible à tous, même face à l’indicible.
Alors, peut-on tout pardonner ? Au terme de ce riche parcours, il se pourrait bien que la question se pose différemment…
OLIVIER CLERC est l’auteur d’une quinzaine de livres, traduits dans de nombreux pays, dont J’arrête de (me) juger ou Le don du Pardon qui relate sa rencontre au Mexique avec Don Miguel Ruiz. Il est aussi le fondateur des Journées du Pardon qui rassemblent chaque année une vingtaine d’intervenants internationaux, ainsi que des Cercles de Pardon.
« Olivier Clerc nous offre un livre remarquable, qui invite à nourrir et interroger en profondeur sur le sens du pardon, en écartant de nombreuses erreurs de compréhension à son sujet.
Un livre à lire, à relire et à offrir ! »
Jacques Lecomte, Docteur en psychologie
En équipe, nous avons cheminé sur ces voies du pardon. Chacun y aura découvert un éclairage nouveau à travers les témoignages, récits et méthodes pratiques.
Sur ce lien, les idées extraites du texte selon le parcours proposé.