Pour la dernière rencontre de l'année scolaire 2023-2024, les jeunes de l'aumônerie ont accueilli les CM2 en première partie de rencontre puis ont fini la soirée avec les parents et paroissiens autour d'un feu de la St Jean et... des chamallows grillés !
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Pour la dernière rencontre de l'année scolaire 2023-2024, les jeunes de l'aumônerie ont accueilli les CM2 en première partie de rencontre puis ont fini la soirée avec les parents et paroissiens autour d'un feu de la St Jean et... des chamallows grillés !
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pour l'Action Catholique des Femmes de Savoie et Haute-Savoie
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Pèlerinage diocésain des Retraités (MCR)
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L’église paroissiale Saint-Martin de Tours construite en 1724 grâce au financement d’Anselme Boujon qui a donné son nom à la place au-devant. Elle est établie sur une ancienne chapelle.
L'église est dédiée à Martin de Tours et fut financée par deux migrants du village, les frères Goujon, partis s'installer en Allemagne. Elle possède des peintures des frères Dalla-Palma. Le presbytère est devenu aujourd'hui la mairie.
L'église a été restaurée à de nombreuses reprises. En 1993-941, la municipalité décide d'effectuer d'importantes rénovations pour lui rendre son caractère baroque.
Le 25 mai, le village est le lieu d'un pèlerinage (aujourd'hui abandonné mais les anciens s'en souviennent)), notamment pour guérir les enfants rachitiques. Ainsi, les pèlerins doivent faire le tour de l'église, dans laquelle se trouvaient des reliques du saint, neuf fois et « comptent les tours en lâchant quelques petits cailloux ».Le pèlerinage est déjà signalé lors d'une visite pastorale de 1617.
Le saint : homme charismatique, prônant le dépouillement extrême, fondateur des premiers monastères d’Occident, évêque évangélisateur & guérisseur… Martin fut certainement une personnalité hors du commun. Il est aussi le premier saint de cette nouvelle ère de l’Empire devenu chrétien.
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La Chapelle de Chez Portay date de la fin du XIXème siècle. Cette Chapelle appartient aujourd’hui à la commune de Féternes.
Yves Bordet (dcd en décembre 2023 à l'âge de 92 ans) était une figure de Chez-Portay. Comment évoquer Yves sans parler de la Chapelle de Chez-Portay, sur laquelle il a toujours veillé et dont l’entretien était une mission qui lui conférait à la fois responsabilité et fierté.
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Notre Dame du Bon Secours : la Bienheureuse Vierge Marie du Secours, également appelée (la) « Succurre Miseris » ou simplement Notre-Dame du Bon Secours (ou « de bon secours »), ou du Perpétuel-Secours, est l'un des noms par lesquels l'Église catholique ainsi que les Églises orthodoxes vénèrent la Vierge Marie, la Théotokos, mère de Jésus-Christ selon sa nature humaine.
En 1850 fut construite la chapelle de Trossy. C’est le père Chevallay, curé de Pers-Jussy, qui en eut l’idée. Les frères Peillex offrirent le terrain. Elle est dédiée à Notre-Dame du Bon Secours. Elle protègerait les habitants et le village de Trossy des crues de l’Ugine et des chutes de pierre du mont César.
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Construite en 1895 par un curé originaire de Larringes, le Père Milliet. Elle appartient toujours à cette même famille
Au hameau “Chez Crosson” à Larringes, l’original a une saveur toute religieuse. Pas ordinaire cette situation : la chapelle appartient à un privé. Maxime Milliet, l’heureux élu qui se présente sans auréole, l’a touchée en héritage de son père.
L’édifice est dans la famille depuis 1895, date à laquelle, un arrière-arrière grand-oncle, curé de son état, le fit construire avec son propre argent « pour dire la messe quand il serait à la retraite. » Il l’appela Immaculée Conception. “Chez Crosson” à côté de “Saint-Thomas”
Aujourd’hui, comme les voix du Seigneur sont toujours impénétrables, la porte de cette chapelle s’ouvre plus facilement que celle du paradis.
À tel point que les touristes randonneurs s’y arrêtent. Certains y déposent même des objets sacrés comme des vierges noires ou encore cette petite plaquette en bois, mentionnant “en remerciement pour la guérison de Tarah de l’île Maurice”.
Car c’est simple, s’il y a bel et bien une serrure, la clé a été volée par le diable. Du coup, on y rentre effectivement comme dans un moulin. Sauf l’hiver quand le froid balaie le plateau du Gavot, au risque d’enrhumer les saintes statues en plâtre. Imaginez la vierge Marie, patronne des lieux ou encore Jeanne-d’Arc prises de frissons, cela ferait désordre !
Pas religieux pour deux sous -ni pour, ni contre- Maxime Milliet, avait pourtant installé un tronc. « Mais, on me l’a chapardé », dit-il charitablement et en souriant. Promis, juré mais pas sur la bible, il va en poser un autre mais cette fois-ci, scellé au mur. Alors, on pourra faire brûler un cierge…
Ce qui est aussi amusant dans cette histoire, c’est que “Chez Crosson” a une frontière commune avec le hameau voisin prénommé “Saint-Thomas”. Croyons-y dur comme fer, il n’y a pas de querelle de chapelle entre les deux communautés.
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La chapelle de Lyonnet est un édifice religieux catholique, situé sur la commune de Saint-Paul-en-Chablais en Haute-Savoie.
Historique
La chapelle fut construite en 1860 d'après un vœu d'une habitante du hameau.
En 1993, l'édifice est entièrement restauré.
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